SAAQ

→ Quels sont vos droits quand vous voulez contester les décisions de la SAAQ?

→ Qu’arrive-t-il quand un vieil accident d’il y a 5, 10 ou 30 ans vous empoisonne continuellement la vie?

→ Quelles options pouvez-vous envisager?

Tout simplement, il se peut aussi que vos blessures, correctement indemnisées à l’époque, refassent surface sous la forme d’une rechute ou d’une aggravation. Vous pouvez alors rouvrir votre dossier.

Les avancées de la médecine permettent de reconnaître aujourd’hui des blessures et diagnostics autrefois inconnus, ce qui peut donner une toute autre perspective à votre dossier.

À ce niveau, chez Causalex, on fait appel à l’une des meilleures expertises québécoises dans les domaines suivants:

• chirurgie-orthopédique;
• psychiatrie ;
• neurochirurgie ;
• neuropsychologie ;
• rhumatologie ;
• ergothérapie ;
• psychologie, etc.

Votre dossier n’est jamais fermé…malgré ce que peut vous dire la SAAQ.

Contactez-nous, nous saurons défendre vos droits et vous aider à obtenir une juste compensation. Voulez-vous une deuxième opinion ?

Un accident automobile vient bouleverser votre vie. Il peut vous laisser ainsi avec de potentielles conséquences financières graves… sans parler des blessures.

→ Si vous êtes à l’école et qu’un accident vous fait manquer votre session ou une année scolaire, vous avez droit à une compensation.

→ Si vous êtes toujours incapable de travailler une fois arrivée la fin de vos études, vous avez aussi droit à des indemnités selon le cas.

→ Vous êtes victime d’un accident de la route. Vous êtes faussement déclaré apte au travail. Malheureusement, vous tombez sur l’aide sociale car vous êtes simplement inapte à tout emploi à cause des blessures de l’accident. Vous avez droit d’être compensé par la SAAQ et non pas par l’aide sociale car l’incapacité découle directement de l’accident automobile. De graves injustices semblables sont trop souvent ignorées.

Afin de minimiser le plus possible l’impact de tels événements, la SAAQ possède un système de classification des accidentés, vous rendant admissible à des indemnités de remplacement du revenu au 14 jours (IRR) selon votre situation réelle au moment de l’accident, que vous soyez au moment de l’accident :

• en emploi ;
• sans travail et à la recherche d’un emploi ;
• à l’école ;
• déjà inapte à tout emploi,

Il est important que vous soyez dans la bonne classe d’accident afin de recevoir les prestations exactes auxquelles vous avez droit. Ceci est sans parler de la quantification de votre base salariale (bonus, avantages sociaux, allocations, etc.) sur laquelle la SAAQ va se fier pour vous payer votre IRR advenant que vous soyez en emploi au moment de l’accident.

Les prestations d’IRR prennent une tournure différente au fil des mois et des années et peuvent se voir ajustées et/ou coupées selon l’évolution de votre état de santé. La SAAQ en décide ainsi et la contestation est votre seul recours si vous croyez être victime d’une injustice dans l’évaluation de votre dossier.

 
À vous de garder l’œil ouvert et de consulter dans le doute.

→ L’accident dont vous êtes victime vous laisse avec des blessures nécessitant des traitements orthopédiques ou psychologiques ?

→ Vous devez prendre des médicaments sur prescription qui finissent par être coûteux ?

La SAAQ a le devoir de payer pour de tels soins s’ils sont requis médicalement et en lien avec votre accident.

Advenant un refus de la part de la SAAQ, gardez vos reçus. Vous pourriez, à travers le processus de contestation, obtenir un remboursement selon le cas.

Si en raison de vos blessures physiques ou de votre inaptitude psychique, vous êtes incapable de vous occuper de vous-même ou de vos proches (hygiène, repas, ménage, etc.), sachez que vous pourriez être admissible à de l’aide venant de la SAAQ.

Demandez-nous l’information.

Perte de jouissance et de qualité de vie

Personne ne souhaite avoir des blessures graves ou des limitations fonctionnelles suite à un accident de la route. Toutefois, quand le mal est fait, la SAAQ a le devoir de vous indemniser correctement pour vos blessures. Pour ce faire, vous devrez vous soumettre, aux frais de la SAAQ, à un processus d’expertise médicale qui parfois, mène à une bonne évaluation comme à une sous-évaluation de vos séquelles.

Il est très important de bien départager les blessures physiques des blessures psychiques. Une hernie discale incapacitante comme un traumatisme crânien peuvent vous mener à une dépression.

Un même traumatisme crânien (TCC) vous laissant avec de graves atteintes cognitives n’a pourtant rien à voir avec un trouble de l’adaptation ou un trouble anxieux. Chaque diagnostic doit être reconnu par les bons spécialistes.

Trop souvent, le processus d’expertise de la SAAQ passe sous silence différentes conditions médicales des accidentés nuisant ainsi grandement à leur droit à une complète et sérieuse compensation.

→ Comment pouvez-vous savoir ce que vous avez comme blessures quand l’expert de la SAAQ évalue uniquement certaines d’entre-elles?

→ Que vaut alors votre capacité à l’emploi si vous ignorez l’ampleur de vos séquelles?

Vous devez savoir que vous pouvez contester l’évaluation de vos blessures en soumettant une contre-preuve médicale. Advenant votre victoire dans le processus de révision ou au Tribunal administratif du Québec, la Loi vous remboursera une bonne partie du coût de votre expertise. Dans le doute…contestez.

C’est notamment à ce niveau que nous pouvons, chez Causalex, vous aider à faire valoir vos droits.

Un dossier bien évalué grâce à un processus de contre-expertise rigoureux, vous donnera une tranquillité d’esprit pour le restant de votre vie.

Soumettez-nous votre cas, vous avez tout à gagner.